Je te parle et te dessine
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J'apaise mes blessures sur des chevaux de bois, d'un passé renaissant aux mémoires fidèles.
Je sais parmi les ombres, le dessin de la peur ; cette atmosphère étrange qui m'a serré le coeur, pareille à ces rondes de nuit qui veillent sur l'angoisse, aussi blanche que le lys qui doute du royaume et cerne le regard prisonnier de lassitude, vaincu de part sa foi : pauvre faiblesse humaine !
Je sais des joies artificielles qui tiennent au rire tant de froideur et des sourires si peu ouverts qui offrent tout leur univers.
Si l'on s'épanche du regard pour mieux se voir dans la chaleur qui nous rassure, combien de voix perdues parlent au silence des raisons retrouvées de l'espérance ?
Il est des joies qui t'accompagnent sur des lieux calmes et reposants, où meurent les heures plantées au centre de leur temps, perdues au fil de leurs aiguilles.
Des pauvres mains d'enfants s'accrochent aux épines, dans les fougères épaisses, la fragile lueur, la divine raison qu'on ne peut définir, tant elle a eu raison.
Je ne sais pas jusqu'où ira ce doux complice, je ne sais pas jusqu'où mes pas sont incertains, je sais que dans le thym, l'odeur du romarin, des âmes solitaires te prendront par la main.
Au bout de la douleur, on trouve la lueur, dans tes yeux, la pudeur.............. La fièvre et le délire ont habité chez moi et porté la chaleur que vous ne donnez pas.
Je sais parmi les ombres, le dessin de la peur ; cette atmosphère étrange qui m'a serré le coeur, pareille à ces rondes de nuit qui veillent sur l'angoisse, aussi blanche que le lys qui doute du royaume et cerne le regard prisonnier de lassitude, vaincu de part sa foi : pauvre faiblesse humaine !
Je sais des joies artificielles qui tiennent au rire tant de froideur et des sourires si peu ouverts qui offrent tout leur univers.
Si l'on s'épanche du regard pour mieux se voir dans la chaleur qui nous rassure, combien de voix perdues parlent au silence des raisons retrouvées de l'espérance ?
Il est des joies qui t'accompagnent sur des lieux calmes et reposants, où meurent les heures plantées au centre de leur temps, perdues au fil de leurs aiguilles.
Des pauvres mains d'enfants s'accrochent aux épines, dans les fougères épaisses, la fragile lueur, la divine raison qu'on ne peut définir, tant elle a eu raison.
Je ne sais pas jusqu'où ira ce doux complice, je ne sais pas jusqu'où mes pas sont incertains, je sais que dans le thym, l'odeur du romarin, des âmes solitaires te prendront par la main.
Au bout de la douleur, on trouve la lueur, dans tes yeux, la pudeur.............. La fièvre et le délire ont habité chez moi et porté la chaleur que vous ne donnez pas.
Jean Claude
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