Les cheveux du personnage ont été sculptés en feuille d'olivier. Au centre du crâne se trouve un jet d'eau, "source d'inspiration et de vie" avec des souches de vigne sur les côtés de l'oeuvre pourvue de quelques oliviers.
Voici l'exemple ci-après du dessin initial dans ce qui aurait dû être son plan final d'architecture. Il n'a pu être achevé dans sa globalité.
Le thème est une renaissance et un projet de vie, un nouveau mode de travail et de confiance en soi au travers de la construction et la création.
Il a été réalisé par des accidentés du travail et de la route mais aussi par des personnes atteintes de différentes maladies.
La mission de la C.R.I.P. a consisté en la réinsertion de ces personnes dans un nouvel emploi différent de leurs fonctions antérieures ; un travail adapté à leur handicap leur permettant de renaître.
La construction de cette oeuvre a eu pour but de leur permettre de reprendre confiance en eux dans l'effort et le travail.
lundi 12 juillet 2010
samedi 5 juin 2010

Renaissance
H : 1.70
H : 1.70
Volonté de renaître à la vie
Renaissance, mémoire du passé, infinie présence, dans un bain de jouvence, l'enfant tient par la main, la naissance d'une mère.
Coule la source, limpide et claire, en un jet d'eau du haut du crâne aux cheveux d'olivier, et la feuille de vigne par le vent balayée, a donné de son fruit l'enfant dans l'adulte qui renaît de ses cendres : l'Ascension, la conscience sur un point culminant, que seul tu peux atteindre.
Le temple et la fenêtre qui dépend du regard qu'on veut bien se donner, du choix d'enfer ou de paradis : le dessin de la vie.
A toi de voir, ou de ne pas voir, le soleil qui ravit de ton être ébloui.
Coule la source, limpide et claire, en un jet d'eau du haut du crâne aux cheveux d'olivier, et la feuille de vigne par le vent balayée, a donné de son fruit l'enfant dans l'adulte qui renaît de ses cendres : l'Ascension, la conscience sur un point culminant, que seul tu peux atteindre.
Le temple et la fenêtre qui dépend du regard qu'on veut bien se donner, du choix d'enfer ou de paradis : le dessin de la vie.
A toi de voir, ou de ne pas voir, le soleil qui ravit de ton être ébloui.
Jean Claude
samedi 10 avril 2010
jeudi 8 avril 2010

Les racines du vent
"Les racines du vent
font les liens de mon coeur
qui se pâme en silence"
0,50 x 0,29
"Les racines du vent
font les liens de mon coeur
qui se pâme en silence"
0,50 x 0,29
Enfant,
On a roulé nos bosses,
On a usé nos culottes,
Quand cahotait notre bonheur
Sur des roulottes de bohème
De Far-West ou carrosse de roi
Qui ne régnait que pour toi,
Et deux carrés de chocolat....
Jean Claude
On a roulé nos bosses,
On a usé nos culottes,
Quand cahotait notre bonheur
Sur des roulottes de bohème
De Far-West ou carrosse de roi
Qui ne régnait que pour toi,
Et deux carrés de chocolat....
Jean Claude

Je te parle et te dessine
0,65 x 0,55
0,65 x 0,55
J'apaise mes blessures sur des chevaux de bois, d'un passé renaissant aux mémoires fidèles.
Je sais parmi les ombres, le dessin de la peur ; cette atmosphère étrange qui m'a serré le coeur, pareille à ces rondes de nuit qui veillent sur l'angoisse, aussi blanche que le lys qui doute du royaume et cerne le regard prisonnier de lassitude, vaincu de part sa foi : pauvre faiblesse humaine !
Je sais des joies artificielles qui tiennent au rire tant de froideur et des sourires si peu ouverts qui offrent tout leur univers.
Si l'on s'épanche du regard pour mieux se voir dans la chaleur qui nous rassure, combien de voix perdues parlent au silence des raisons retrouvées de l'espérance ?
Il est des joies qui t'accompagnent sur des lieux calmes et reposants, où meurent les heures plantées au centre de leur temps, perdues au fil de leurs aiguilles.
Des pauvres mains d'enfants s'accrochent aux épines, dans les fougères épaisses, la fragile lueur, la divine raison qu'on ne peut définir, tant elle a eu raison.
Je ne sais pas jusqu'où ira ce doux complice, je ne sais pas jusqu'où mes pas sont incertains, je sais que dans le thym, l'odeur du romarin, des âmes solitaires te prendront par la main.
Au bout de la douleur, on trouve la lueur, dans tes yeux, la pudeur.............. La fièvre et le délire ont habité chez moi et porté la chaleur que vous ne donnez pas.
Je sais parmi les ombres, le dessin de la peur ; cette atmosphère étrange qui m'a serré le coeur, pareille à ces rondes de nuit qui veillent sur l'angoisse, aussi blanche que le lys qui doute du royaume et cerne le regard prisonnier de lassitude, vaincu de part sa foi : pauvre faiblesse humaine !
Je sais des joies artificielles qui tiennent au rire tant de froideur et des sourires si peu ouverts qui offrent tout leur univers.
Si l'on s'épanche du regard pour mieux se voir dans la chaleur qui nous rassure, combien de voix perdues parlent au silence des raisons retrouvées de l'espérance ?
Il est des joies qui t'accompagnent sur des lieux calmes et reposants, où meurent les heures plantées au centre de leur temps, perdues au fil de leurs aiguilles.
Des pauvres mains d'enfants s'accrochent aux épines, dans les fougères épaisses, la fragile lueur, la divine raison qu'on ne peut définir, tant elle a eu raison.
Je ne sais pas jusqu'où ira ce doux complice, je ne sais pas jusqu'où mes pas sont incertains, je sais que dans le thym, l'odeur du romarin, des âmes solitaires te prendront par la main.
Au bout de la douleur, on trouve la lueur, dans tes yeux, la pudeur.............. La fièvre et le délire ont habité chez moi et porté la chaleur que vous ne donnez pas.
Jean Claude
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